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2 euros commémorative France 2014 D-DAY.

Le D-DAY (Jour J), le 6 juin 1944, marque le début du débarquement allié en Normandie, lors de la Seconde Guerre mondiale. Dans la nuit du 5 au 6 juin, malgré de nombreux moyens militaires mis en place, les pertes vont s'élever à plus de 3 000 soldats sur 150 000 hommes engagés dans l'opération. De Saint-Martin-de-Varreville à Ouistreham, ce débarquement marque un tournant majeur dans les rapports de forces qui opposent les belligérants de ce conflit majeur du 20e siècle. Sur la face de la pièce, le graphisme du mot "D-DAY" figure à la fois une barge de débarquement et le canon d'un char. On découvre les dates 1944-2014 au-dessus du canon du char et la mention "70e anniversaire du débarquement". Les empreintes très particulières de bottes portées par les armées américaines et britanniques disparaissent peu à peu, effacées par une vague. La phrase de Verlaine servant de code pour le début du débarquement est gravée sur la vague : " les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon c ur d'une langueur monotone".
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Le D-DAY (Jour J), le 6 juin 1944, marque le début du débarquement allié en Normandie, lors de la Seconde Guerre mondiale. Dans la nuit du 5 au 6 juin, malgré de nombreux moyens militaires mis en place, les pertes vont s'élever à plus de 3 000 soldats sur 150 000 hommes engagés dans l'opération. De Saint-Martin-de-Varreville à Ouistreham, ce débarquement marque un tournant majeur dans les rapports de forces qui opposent les belligérants de ce conflit majeur du 20e siècle. Sur la face de la pièce, le graphisme du mot "D-DAY" figure à la fois une barge de débarquement et le canon d'un char. On découvre les dates 1944-2014 au-dessus du canon du char et la mention "70e anniversaire du débarquement". Les empreintes très particulières de bottes portées par les armées américaines et britanniques disparaissent peu à peu, effacées par une vague. La phrase de Verlaine servant de code pour le début du débarquement est gravée sur la vague : " les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon c ur d'une langueur monotone".