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Le facteur en BD, et la BD en timbres

La Poste tient une place toute particulière dans l’histoire du dessin et des illustrés. Mais l’inverse est aussi vrai ! Comment La Poste honore-t-elle le 9e art ? Quelques réponses entre deux bulles…

Img 1 : Des facteurs et des BD

Des facteurs et des BD

Le facteur, c’est un allié du quotidien, et à certaines époques cruciales, il a joué un rôle particulièrement stratégique. Pas étonnant qu’on retrouve sa figure dans de nombreuses bandes dessinées. Il est même parfois au cœur de l’histoire, comme dans Facteur pour femmes, qui se passe pendant la première guerre mondiale, le courrier étant alors le seul moyen de communication entre le front et les familles.

La thématique de la poste a sa place toute choisie dans la bande dessinée classique, Pony Express en tête dans des BD comme Lucky Luke, où le courrier est roi avant l’arrivée du « fil qui chante », autrement dit le télégraphe.

Et La Poste inspire les auteurs jusque dans notre époque contemporaine, avec une BD humoristique comme Les Postiers, de Godard et Du Vigan, qui suit les aventures et mésaventures de postiers (extra)ordinaires.

Un intérêt réciproque

C’est en 1988, à l’occasion du 15e anniversaire du Festival d’Angoulême, que le premier carnet de timbres dédié à la BD est édité par La Poste : douze dessinateurs récompensés par le grand prix de la ville d'Angoulême, pour douze timbres sur le thème de la communication.

Depuis 1999, la BD est un thème récurrent du programme philatélique de France, et les timbres mettent régulièrement en scène les héros célèbres de bande dessinée, tels que Tintin et Milou, Gaston Lagaffe, Lucky Luke et même Titeuf ou Le Chat. Des dessinateurs comme Moebius ou Enki Bilal ont aussi été invités à exprimer leur créativité sur ce petit support voyageur.

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Ing 2 : Un intérêt réciproque