Aller au contenu de la page

Bloc - Les années 70

Bloc - Les années 70
Ce produit n'est plus disponible à la vente
Vendu et expédié par La Poste

Description

ID 1116101

Nature de l'envoi : Lettre Prioritaire

Poids maximum : 20 g

Destination de l'envoi : France

Les années 70 c'est l'avènement de la télévision dans les foyers, Les Français chantent avec les Carpentier, rient avec Jacques Martin, se piquent de littérature avec Bernard Pivot, se passionnent pour la série des Rois maudits. Le fameux « Bonjour ! » d’Yves Mourousi réveille le journal télévisé. Et dans L’île aux enfants, l’émission jeunesse culte du moment, c’est tous les jours le printemps.

C'est aussi dans les années 70 que se développe l'industrie des sports d’hiver. Les vacanciers découvrent en famille le concept de « front de neige ». Des stations sans voitures, fonctionnelles, conviviales sortent de terre. Des architectes visionnaires, comme Charlotte Perriand aux Arcs, concilient le respect de l’environnement et le nouvel art de pratiquer la montagne.

L’automobile n'est pas non plus en reste au tournant des 70's. Avec ses phares qui roulent des yeux dans un univers de BD, la pub de la R5 marque les esprits. Le nouveau modèle de Renault est hors norme. Il s’adapte au nouveau statut des femmes, s’adresse aussi aux jeunes et aux célibataires. Sympathique, populaire, en plein dans l’époque, il est immédiatement adopté.

Dans les années 70 les loisirs explosent. La fièvre du samedi soir s’empare du monde de la nuit. On danse au rythme binaire d’une musique qu’on retient instantanément. Le disco devient un style planétaire au look androgyne. Et c’est tout un public post-68 qui adhère à un courant où des voix suaves chantent le sexe, la fête et la vie.

Lieu de communion sportive, en 72, le Parc des Princes revisité par l’architecte Taillibert fait sensation. Les supporters vibrent pour ce stade avant-gardiste conçu pour qu’aucun des 50 000 spectateurs ne soit à plus de 45 m d’une ligne de touche. Le football parisien a enfin un temple à la hauteur de ses ambitions.

Dans le milieu de la mode enfin, les créateurs remplacent les couturiers. On ose tout, les superpositions intrépides, les bijoux exubérants, les mélanges d’imprimés savamment dissonants. On porte des combinaisons fluides à fleurs, des paillettes disco et des pantalons pattes d’eph’. La couleur explose. En ville, le jean est roi.